Rencontre entre les Instituts de Recherche Technologique et les Catapult Centres

Invités à participer à une journée de travail, d’échanges et de partage autour de la question du positionnement stratégique pour l’innovation, les hauts représentants des IRT et des Catapult Centres se sont rassemblés le 28 février 2017 à la Résidence de France à Londres.

Cette deuxième rencontre bilatérale a été ouverte par Son Excellence l’Ambassadeur, Mme Sylvie Bermann, qui a rappelé que la France et le Royaume-Uni présentent à la fois des similarités dans de nombreux domaines (historique, économique, populations, coopérations…) et également des différences, notamment en ce qui concerne les succès en innovation (comme cela peut être observé dans les différents classements mondiaux de l’innovation).

Faisant suite à une matinée en mai 2016 organisée à Paris par l’Ambassade du Royaume-Uni en France, cet atelier visait à approfondir des sujets d’intérêt, ou présentant des défis, communs. Pour cela, le programme s’est appuyé sur les expériences concrètes partagées par ces deux types d’accélérateur d’innovation, en particulier sur les forces et faiblesses de leur positionnement stratégique au regard des interactions avec les partenaires aussi bien académiques que privés (PME et grandes entreprises). Les échanges en tables rondes sur ces thématiques ont été riches et ont permis aux participants, d’une part de poursuivre les discussions préliminaires ayant eu lieu à Paris en mai dernier et, d’autre part, d’approfondir leur connaissance de l’écosystème de l’innovation dans l’autre pays.

La deuxième partie de journée s’est davantage focalisée sur l’exploration des opportunités technologiques ou thématiques dont le développement et/ou les marchés pourraient bénéficier de coopération bilatérale entre ces différents acteurs. Là encore, les discussions ont été lancées après deux présentations d’exemples concrets de coopération entre IRT et Catapult Centres, qui travaillent à l’élaboration de projets technologiques communs. Ces tables rondes ont notamment permis d’identifier des technologies et/ou activités complémentaires entre des centres britanniques et des instituts français, et de donner un éclairage utile sur les modalités possibles et pertinentes de mise en œuvre de ces coopérations bilatérales (financements, règles financières).