Le programme ECLAUSion

Ces étudiants, en cotutelle entre l’école Centrale de Lyon et le Royal Melbourne Institute of Technology, vont bénéficier des équipements et de l’expertise des laboratoires de recherche français et australiens, ainsi que des partenaires industriels dans le domaine des nanotechnologies.

Ils viennent du Togo, d’Iran, d’Italie, du Pakistan et d’Espagne, et ont suivi des études de haut niveau en Inde, en France, en République Tchèque, ou en Allemagne. A présent, ils se penchent sur leurs sujets de thèse aux applications très concrètes : puces optiques de faible consommation énergétique, détecteurs photoniques de précision, capables de détecter les cellules cancéreuses ou la vie sur des exo planètes, systèmes copiant l’activité du cerveau pour explorer l’intelligence artificielle, dispositif de mesure en temps réel de la circulation de cellules cancéreuses dans le sang, ou système de nanoparticules utilisant des biomolécules (ADN, protéines, etc.) pour les diagnostics médicaux.

Une deuxième vague d’étudiants devraient les rejoindre d’ici quelques mois, et renforcer ainsi les synergies possibles entre la France et l’Australie dans ce domaine stratégique. Un laboratoire associé international unit déjà les deux pays afin de promouvoir la recherche fondamentale, l’innovation technologique et la formation dans le domaine de la photonique, avec pour ambition un développement des collaborations permettant la création d’une unité CNRS en Australie en partenariat avec des partenaires industriels.

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