Tecnopolis : Le parc scientifique d’Argentine et des affluences record : 2,4 millions de visiteur en 15 jours

Partager
Argentine

Brève
Argentine | Politiques de recherche, technologiques et universitaires
21 septembre 2015

Tecnopolis : Le parc des sciences de Buenos Aires a accueilli près de 2,4 millions de visiteur durant la récente période hivernale. L’affluence durant les vacances d’hiver (17 au 31 juillet) a augmenté de 19,5% par rapport à l’année 2014

JPEG - 162.5 ko

Crédits : tecnopolis

Durant les vacances d’hiver — du 17 au 31 juillet — une des activités les plus prisées par les familles fut de visiter « Tecnópolis ». Durant ces deux semaines, enfants et familles ont profité des animations telles que « Terre de dinosaures », ont appris à connaître les espèces de poissons présentes dans la mer au large de l’Argentine dans le grand aquarium présent dans le parc, ou ont encore pu s’adonner au patinage sur glace.

Placée sous la devise « Future pour toujours », l’édition 2015 de Tecnópolis propose au public, un monde où la science est accessible pour tous, un monde de création artistique et des avancés technologique qui nous ouvre les portes vers le futur. Une composante écologique est également présente, afin de sensibiliser le public au changement climatique et à la protection de notre planète.

Par ailleurs, cette cinquième édition a vu une affluence record de 2.390.000 personnes, et place cette cité des sciences, d’art et de technologie, comme le plus grand parc « scientifique » d’Amérique du Sud. Tecnópolis n’en est pas à son premier record d’affluence. En effet, le parc a battu deux autres records d’affluence journalière : 310.000 personnels le premier jour, et 420.000 le dimanche suivant. Les chiffres parlent donc d’eux-mêmes : sur la même période des vacances d’hiver, l’année 2015 a connu une augmentation de 19,5 % par rapport à l’année 2014.

Dans l’attente des prochaines vacances d’été, à partir du 19 décembre 2015, le parc continuera d’ouvrir ces portes gratuitement du mercredi au dimanche.

Rédacteur : Antoine Lérault