Les partenaires des appels à projets Jeunesse

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Les appels à projets Jeunesse ont été réalisés avec le soutien de nombreux acteurs.

Ministère de l’Éducation nationale / Direction de la Jeunesse, de l’Éducation populaire et de la Vie associative

La direction de la Jeunesse, de l’Éducation populaire et de la Vie associative (DJEPVA), rattachée au ministère de l’Éducation nationale, élabore, coordonne et évalue les politiques en faveur de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative.

Elle contribue à la coordination des actions interministérielles concernant la jeunesse et la vie associative. De même, elle anime et coordonne les actions des services déconcentrés de l’État en matière de jeunesse, de vie associative et d’éducation populaire.

La mobilité européenne et internationale des jeunes est l’un des champs de compétence de la DJEPVA à travers son soutien à des opérateurs de la mobilité (Agence Erasmus+ France Jeunesse & Sport – AEFJS, Office franco-allemand pour la Jeunesse – OFAJ, Office franco-québécois pour la Jeunesse - OFQJ) et à la mise en œuvre de politiques au niveau national et sur les territoires avec pour enjeu le développement de la mobilité internationale pour tous les jeunes.

Dans ce cadre, un chantier interministériel et multi partenarial est conduit depuis plusieurs années auquel participent activement les collectivités territoriales.

Il est basé sur des principes d’échanges, de mutualisation et de recherche de synergies entre les différentes politiques et dispositifs.

L’appel à projets du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères (MEAE) constitue l’une des réponses à ces enjeux en proposant d’inscrire au cœur de la coopération décentralisée, des missions de jeunes engagés de service civique.

La DJEPVA soutient l’appel à projets à travers son expertise mais également via l’Agence du Service civique dont elle a la tutelle et qui finance les missions des jeunes en engagement de service civique à l’international.

Cet appel à projets répond donc totalement aux objectifs opérationnels du développement de la mobilité internationale en favorisant les synergies entre la coopération décentralisée et le dispositif national que constitue l’engagement de service civique.

L’intégration de la mobilité européenne et internationale des jeunes dans la coopération décentralisée permet de construire concrètement une relation forte entre deux territoires. En effet, la présence des jeunes, véritables ambassadeurs de leur territoire d’origine, permet de rendre palpable la relation institutionnelle. Mais l’expérience de mobilité internationale apporte bien davantage : elle est source d’apprentissages interculturels et d’acquisition de savoir-être pour les jeunes, d’ouverture au monde pour les populations qui les accueillent. A leur retour, les jeunes, pour peu qu’ils soient accompagnés, deviennent des exemples pour leurs pairs et participe ainsi à la dynamique de réseau.

Pour en savoir plus : www.education.gouv.fr et decouvrirlemonde.jeunes.gouv.fr/

Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation

Pour en savoir plus : http://agriculture.gouv.fr/

France Volontaires

Plateforme française des volontariats à l’international, France Volontaires réunit les pouvoirs publics et les acteurs associatifs autour d’une mission d’intérêt général : promouvoir, valoriser et développer les engagements volontaires et solidaires à l’international. France Volontaires est opérateur du MEAE et membre fondateur de l’Agence du Service Civique. L’organisation est présente dans 23 pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique/Caraïbes et du Pacifique au travers son réseau d’Espace Volontariats, centre de ressources et d’appui aux acteurs du volontariat international. Elle est également implantée sur les territoires de France métropolitaine et d’Outre-Mer à travers 6 antennes (Ivry-sur-Seine, Lille, Nantes, Marseille, La Réunion, Nouméa).

Pourquoi être partenaire de l’appel à projets Jeunesse du MEAE ?

Engagement de service civique et volontariat de solidarité internationale sont deux types de volontariat, complémentaires l’un de l’autre, auxquels il est possible de recourir dans le cadre de l’appel à projets et pour lesquels France Volontaires dispose d’une expertise reconnue. En tant qu’opérateur du MEAE et à travers son réseau en France et à l’international, France Volontaires contribue à la promotion de l’appel à projets et apporte son appui-conseil aux collectivités territoriales dans la construction et leur mise en œuvre de leur projet.

En quoi la coopération décentralisée est-elle vectrice du développement de la mobilité européenne et internationale des jeunes en réciprocité ?

La coopération décentralisée permet de donner plus de sens à la mobilité européenne et internationale des jeunes en ancrant les missions de volontariat dans des projets de territoires. Inversement, la mobilisation de jeunes volontaires donne plus de force à la coopération décentralisée en associant la population et les jeunes aux projets, permettant ainsi de lier politique jeunesse et action internationale d’une collectivité. La coopération décentralisée permet aussi d’envisager la réciprocité des échanges de jeunes. A travers l’accueil de volontaires internationaux, le partenariat devient plus équilibré et l’action internationale de la collectivité davantage incarnée.

Avez-vous appris en travaillant en lien avec les collectivités territoriales ? Qu’en retenez-vous ?

L’avenir de la jeunesse est un enjeu partagé par de nombreux territoires à travers le monde. Le volontariat international, à la croisée de la solidarité, du développement et de la citoyenneté, est un puissant levier de cohésion sociale et de développement durable. Inscrire la jeunesse dans les accords de coopération, permet de construire des réponses partagées et innovantes entre collectivités territoriales, pour donner un nouveau souffle à nos sociétés.

Pour en savoir plus : www.france-volontaires.org

Agence du Service civique

Pour en savoir plus : http://www.service-civique.gouv.fr/

Erasmus+ France Jeunesse & Sport

L’Agence Erasmus+ France Jeunesse & Sport est chargée par la Commission européenne de gérer, sur l’ensemble du territoire français, le programme Erasmus+ dans sa partie Jeunesse (éducation non formelle) et d’en animer le volet Sport. Dans ce cadre, elle finance des projets de mobilité collective (échanges de jeunes, formations…) ou individuelle (Service volontaire européen), en soutenant et valorisant notamment la participation de jeunes ayant moins d’opportunités. L’Agence Erasmus+ France Jeunesse et Sport dispose également d’un pôle EuroMed (Salto-Youth) en charge de la coopération euro-méditerranéenne à travers l’animation et le partage de ressources sur la jeunesse.
Depuis le 1er janvier 2016, l’Agence Erasmus+ France Jeunesse et Sport a rejoint l’Agence du Service Civique.
En France il y a deux agences nationales qui gèrent le programme européen Erasmus+ (2014-2020).

Pourquoi être partenaire de l’appel à projets Jeunesse du MEAE ?

Notre agence participe au comité de pilotage de l’appel à projets Jeunesse du MEAE depuis 2016. Nous avons par ailleurs contribué au rapport Jeunesses, mobilités et territoires : recommandations pour l’action extérieure des collectivités territoriales en valorisant les initiatives déjà mises en œuvre.
Être partenaire de ces actions est pour nous l’occasion de renforcer les liens avec nos partenaires, de diversifier les structures engagées et d’échanger sur nos pratiques. Toujours au service de la mobilité européenne et internationale. Et pour tous les jeunes, y compris ceux les plus éloignés des dispositifs.

En quoi la coopération décentralisée est-elle vectrice du développement de la mobilité européenne et internationale des jeunes en réciprocité ?

C’est en soutenant et en accompagnant des projets de coopération jeunesse à l’international que nous pouvons construire et développer de nouveaux projets.
Nous avons remarqué par ailleurs que les collectivités impliquées dans les projets de mobilité Erasmus+ sont dynamiques et proposent des projets créant des synergies intéressantes (Mairie avec BIJ ou autres associations) avec un fort impact local. Il est donc important de valoriser ces initiatives et de les soutenir, notamment via un appel à projets dédié à une pluralité de dispositifs où le SVE, voire les autres actions Erasmus+, ont toute leur place.

Avez-vous appris en travaillant en lien avec les collectivités territoriales ? Qu’en retenez-vous ?

De plus en plus de collectivités territoriales, de toutes tailles, s’engagent dans les différentes actions du programme Erasmus+ : échanges de jeunes (souvent utilisés dans le cadre les jumelages), service volontaire européen, etc…
Le programme Erasmus+, comme les autres actions développées dans le cadre de la coopération décentralisée, est un outil au service des politiques jeunesse :
Meilleure connaissance du local, diversification des structures et des profils de jeunes, solidité conjoncturelle, favoriser l’insertion des jeunes via une expérience de mobilité, rapprocher l’Europe du citoyen. Les objectifs du programme sont partagés.

Pour en savoir plus : www.erasmusplus-jeunesse.fr

Fondation Schneider Electric

Schneider Electric, le spécialiste mondial de la gestion de l’énergie et des automatismes, s’engage pour un avenir durable à travers de nombreuses initiatives, dont le programme Accès à l’Énergie soutenu par la Fondation Schneider Electric.

Le Groupe est convaincu que l’accès à l’énergie est un droit humain fondamental et s’investit pour que les 1,06 milliards de personnes qui en sont dépourvues y accèdent de manière durable. Afin de relever ce défi, nous nous appuyons sur un réseau de plus de 150 partenaires et menons des projets dans 40 pays en développement pour soutenir la formation professionnelle et l’entrepreneuriat dans les métiers de l’énergie.

Grâce à notre programme, 5 500 formateurs et plus de 130 000 personnes issues de milieux défavorisés ont été formés depuis 2009. En capacité d’accéder à un emploi qualifié ou de créer leur entreprise, ces jeunes améliorent ainsi leurs perspectives de vie tout en contribuant à un meilleur accès à une énergie moderne et fiable dans leur communauté.

Pourquoi être partenaire de l’appel à projets Jeunesse du MEAE ?

Schneider Electric et sa Fondation se mobilisent auprès de l’appel à projets Jeunesse du MEAE autour d’un objectif commun, celui de favoriser l’insertion socio-professionnelle des jeunes et leur ouverture au monde. Chez Schneider Electric, nous sommes convaincus que la formation professionnelle est un élément clé pour l’insertion des jeunes. Ainsi, nous nous mobilisons tout particulièrement autour des problématiques de l’Enseignement et de la Formation Techniques et Professionnelles (EFTP) dans les pays en développement, dans le cadre de notre programme Accès à l’Energie. Alors que nous avons déjà formé plus de 130 000 personnes aux métiers de l’énergie dans 40 pays, aujourd’hui l’enjeu majeur de notre programme est de démultiplier l’impact de nos actions. Nous cherchons donc à nouer de nouveaux partenariats à fort effet de levier, et devenir partenaire de l’appel à projets Jeunesse du MEAE est pour nous une belle opportunité. En effet, cette collaboration nous permet de bénéficier d’un accès privilégié aux relations bilatérales entre les collectivités et de promouvoir un plaidoyer pour la formation professionnelle.

Enfin, l’appel à projets lancé par le MEAE est en complète cohérence avec les actions que Schneider Electric cherche à porter : les projets proposés contribuent directement à nos thématiques d’engagement puisqu’ils visent à développer la formation professionnelle partout dans le monde au travers d’actions locales.

Schneider Electric est heureux de renouveler son partenariat à l’occasion de l’appel à projet Jeunesse III.

En quoi la coopération décentralisée est-elle vectrice du développement de la mobilité européenne et internationale des jeunes en réciprocité ?

La formation professionnelle est aujourd’hui un levier clef pour la réduction de la pauvreté dans les pays du sud et pour la maitrise des flux migratoires. Elle se doit donc d’être au cœur des politiques de coopération.

Les régions, par essence, mais les autres collectivités territoriales au travers notamment de dispositifs de lutte contre le chômage, ont des savoir-faire en ce domaine qui peuvent efficacement se transposer grâce des partenariats de coopération décentralisée. Ils sont très attendus localement car la France est vue comme un pays exemplaire pour la qualité de sa formation professionnelle.

Notre engagement, en tant qu’entreprise, en soutien à ces partenariats multilatéraux vise à apporter l’excellence technique dans les domaines qui sont les nôtres, notamment sur les énergies renouvelables. Il pourrait d’ailleurs faire sens que d’autres entreprises apportent leur soutien aux initiatives de la DAECT pour couvrir des champs techniques toujours plus larges.

Avez-vous appris en travaillant en lien avec les collectivités territoriales ? Qu’en retenez-vous ?

Ces deux années de collaboration avec l’appel à projet Jeunesse du MEAE au contact des collectivités territoriales ont été riches en enseignements. En travaillant avec ces acteurs nous avons réalisé l’ampleur des actions menées, tant au niveau du nombre de relations bilatérales qu’au niveau du nombre de projets mis en place localement. Fortes de leur mobilisation et de leur grande expérience terrain, les collectivités territoriales nous ont permis d’approcher un réseau important de partenaires et nous ont appris à appréhender ces acteurs locaux pour faire de nos projets des succès partagés. A titre d’exemple, la collaboration avec les villes de Ouagadougou et de Grenoble dans le cadre de leur jumelage, a été déterminante pour mener à bien le projet que nous soutenons : le renforcement de la formation professionnelle dans le domaine de l’énergie solaire au Burkina Faso.

Pour en savoir plus : www.schneider-electric.fr

Cités Unies France (CUF)

Cités Unies France développe, depuis de nombreuses années, une approche transversale « jeunesse » au sein des différents pôles géographiques à travers la mise en place d’un pôle jeunesse, dans un souci d’élargissement et d’enrichissement des thématiques couvertes par les partenariats de coopération décentralisée.

Le groupe thématique jeunesse est actuellement présidé par Meriem Derkaoui, maire d’Aubervilliers. Les objectifs de ce groupe sont d’inciter les acteurs de la jeunesse et de l’international à se concerter et à travailler de manière coordonnée, au sein même de la collectivité, mais aussi de les faire bénéficier des stratégies et initiatives mises en œuvre sur d’autres territoires, par d’autres acteurs.

D’où le besoin d’identifier-comparer-échanger sur les pratiques entre acteurs français et avec des acteurs de pays tiers. D’où aussi la nécessité de mettre en place des espaces de travail concerté et des rencontres permettront l’échange de perspectives, d’expériences et de connaissances.

La spécificité de ce groupe est de rassembler des acteurs de différentes natures : collectivités territoriales (élus et agents relations internationales et jeunesse), associations (de solidarité Internationale et d’éducation populaire), institutions (Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Ministère jeunesse, AFPEJA/INJEP,..). Cette dimension « pluri-acteurs » apporte une réelle valeur-ajoutée aux projets.

Toute notre logique d’intervention repose essentiellement sur l’idée que la coopération internationale peut être un outil au service des politiques jeunesses. Tout comme la jeunesse, la coopération internationale est un sujet transversal qui permet d’aborder et de travailler avec les partenaires locaux, nationaux et internationaux sur des politiques publiques touchant la formation professionnelle, l’emploi, l’action sociale, la démocratie participative, l’accès aux loisirs,… Autant de problématiques que l’on retrouve dans les projets soutenus et portés par les collectivités territoriales dans le cadre de leur coopération.

Quand on évoque l’international dans une politique jeunesse, cela se traduit souvent par la mobilité.

Les collectivités territoriales sont conscientes de l’importance de la mobilité géographique des jeunes comme source de développement social, professionnel et culturel. Dans un monde globalisé, vivre un séjour à l’étranger pour un jeune, qu’il soit diplômé, en formation ou en recherche d’emploi, constitue une expérience enrichissante.

Qu’il s’agisse de dispositifs propres, de l’accès à des dispositifs nationaux (tel que les appels à projet mis en place par la Délégation à l’action extérieure des collectivités territoriale) ou de partenariats avec des structures extérieures, les collectivités sont nombreuses à encourager les jeunes dans leurs projets qu’ils soient solidaires ou d’études.

Les mobilités contribuent à l’ouverture des futurs citoyens à l’Europe et au monde ; et même si ces mobilités s’inscrivent dans une démarche de formation ou de professionnalisation, elles contribuent à la prise de conscience de la diversité des cultures, de l’altérité et renforcent l’employabilité future des jeunes. A contrario, un engagement solidaire comporte des apprentissages qui peuvent être valorisés sur le plan professionnel.

Le désir d’ouverture sur le monde ne va pas de soi, des actions de sensibilisation et d’information sont donc nécessaires auprès des jeunes mais aussi des professionnels de la jeunesse, voire des parents.

Pour en savoir plus : www.cites-unies-france.org

Association Française du Conseil des Communes et Régions d’Europe (AFCCRE)

Créée en 1951, l’AFCCRE, Association Française du Conseil des Communes et Régions d’Europe, promeut la construction d’une Europe unie, citoyenne et fondée sur les libertés locales et régionales. Organisation pluraliste, l’AFCCRE rassemble aujourd’hui près de 900 collectivités territoriales, communes, départements, régions ainsi que des groupements de communes. Elle est actuellement présidée par Philippe Laurent, Maire de Sceaux.

À l’origine du développement du mouvement des jumelages au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’AFCCRE a peu à peu diversifié ses actions. Son champ d’expertise couvre aujourd’hui l’ensemble des politiques européennes intéressant directement ou indirectement les collectivités territoriales françaises : cohésion territoriale, égalité femmes-hommes, jeunesse, jumelages et partenariats, environnement et développement durable, services publics locaux et coopération au développement.

L’AFCCRE constitue la section française du Conseil des Communes et Régions d’Europe (CCRE), organisation européenne qui rassemble plus de 150.000 collectivités territoriales en Europe et qui est présidée par Stefano BONACCINI, Président de la Région Emilie Romagne (Italie).

Elle est par ailleurs membre fondateur de PLATFORMA, la plateforme européenne des autorités locales et régionales pour le développement. Elle est enfin membre de l’organisation mondiale de collectivités territoriales, Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU), fondée lors du Congrès de Paris en mai 2004.

Pourquoi être partenaire de l’appel à projets Jeunesse du MEAE ?

L’AFCCRE encourage pleinement les collectivités territoriales françaises à développer des initiatives permettant aux jeunes de vivre une expérience de mobilité à l’échelle européenne. Ces expériences permettent à la fois aux jeunes d’acquérir des compétences, des connaissances et aux collectivités territoriales d’enrichir et renouveler leurs partenariats. L’appel à projets Jeunesse du MEAE, tant dans ses principes que dans ses modalités de mise en œuvre, soutient précisément les collectivités territoriales dans ces initiatives, c’est la raison pour laquelle l’AFCCRE a très volontiers été partenaire de cet appel à projets.

En quoi la coopération décentralisée est-elle vectrice du développement de la mobilité européenne et internationale des jeunes en réciprocité ?

La coopération entre territoires constitue un cadre d’action dont ils définissent ensemble les objectifs et les moyens. De nombreuses collectivités territoriales choisissent ainsi avec leur partenaire européen de faire des jeunes un axe de travail commun prioritaire. En outre, la coopération entre territoires permet également de mobiliser différents acteurs (associations, établissements d’enseignement et de formation, entreprises…) autour des enjeux de la mobilité des jeunes et d’appréhender cette mobilité sous des prismes divers (mobilité individuelle ou collective, stages, volontariats, échanges, etc…) et de diversifier les publics jeunes. Le partenariat européen – ou international – qu’il soit définit sous la forme d’un jumelage ou d’une coopération permet en outre d’inscrire les initiatives dans la continuité, ce qui facilite la réciprocité des actions.

Pour en savoir plus : www.afccre.org