Presse et médias

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2025

2024

Il est temps d’aller vers un accord qui permette la libération de tous les otages, le cessez-le-feu et l’entrée massive d’aide humanitaire à Gaza, et de préparer le « jour d’après ».

Nous travaillons actuellement à l’adoption d’un troisième train de sanctions visant les actes de colonisation. Je crois qu’il ne faut rien lâcher sur ce terrain, parce que c’est vraiment la sécurité d’Israël, la sécurité de la région qui est en jeu.

La France appelle à la cessation immédiate des hostilités, au cessez-le-feu immédiat, à la libération inconditionnelle des otages, à l’accès sans entrave de l’aide humanitaire, et à l’élaboration d’une solution durable qui passe par deux États, l’État de Palestine et l’État d’Israël, vivant côte à côte avec des reconnaissances mutuelles et des garanties de sécurité.

La France et les Etats-Unis ont des liens de très longue date. Nous avons survécu à 59 élections présidentielles aux Etats-Unis, nous pourrons survivre à la 60e.

C’est évidemment une tragédie absolue et la France a exprimé hier sa solidarité vis-à-vis du peuple espagnol, a exprimé ses condoléances aux familles des victimes, à leurs proches, et a proposé à l’Espagne de l’aide, et 250 pompiers se tiennent prêts à intervenir dès lors que l’Espagne acceptera cette demande

C’est pour moi une grande joie de prendre part à cette visite d’Etat, par laquelle le Président de la République et Sa Majesté le Roi ont posé les fondements d’une véritable refondation du partenariat stratégique entre la France et le Maroc.

Le chef de la diplomatie française mise beaucoup sur la visite présidentielle au Maroc. Jean Noël Barrot appelle aussi à une désescalade au Moyen-Orient après les frappes israéliennes sur l’Iran.

Le ministre français des Affaires étrangères revient sur les enjeux de la Conférence internationale de soutien à la population et à la souveraineté libanaise, qui s’est tenue ce jeudi à Paris.

Le Liban a besoin de la communauté internationale. Et aujourd’hui à Paris, la communauté internationale a répondu présent.

Je n’oublie pas les 48 Français qui sont morts le 7 octobre. J’ai rencontré un certain nombre des familles qui s’étaient rassemblées sur ce site du festival Nova le 7 octobre dernier. Je n’oublie pas non plus l’héroïsme de certains de nos compatriotes, morts ce jour-là en donnant leur vie pour que d’autres puissent sauver la leur. Et je n’oublie pas nos deux otages, Ohad et Ofer, qui sont encore détenus dans les tunnels à Gaza.

Il appartient, c’est la responsabilité et c’est dans l’intérêt d’Israël que la guerre à Gaza s’arrête, que la colonisation en Cisjordanie s’arrête, et que soit enfin discutée cette solution à deux Etats, avec un Etat de Palestine aux côtés d’un Etat d’Israël qui vivent en paix et en sécurité.

Merci, Monsieur le ministre, cher Andrii. Si j’ai répondu à ton invitation, à celle du Président Zelensky, c’est parce que votre combat c’est aussi le nôtre.

La situation au Liban, je l’ai dit, est catastrophique. J’ai une pensée pour nos compatriotes qui sont nombreux à vivre au Liban et qui sont aujourd’hui inquiets. Nous suivons la situation d’heure en heure.

Au terme d’une tournée régionale au Proche et Moyen-Orient, je suis aujourd’hui en Israël en ce triste jour anniversaire de l’attentat terroriste du 7 octobre, pire massacre antisémite de notre Histoire depuis la Shoah.