Israël/Territoires palestiniens - Etats-Unis/Union européenne - Entretien de M. Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "RTL" (Paris, 26/07/2025)
Tout le but de la diplomatie avec nos partenaires, c’est de trouver les voies d’un cessez-le-feu, du retour de l’aide humanitaire à Gaza et bien sûr de la libération des otages.
Commerce extérieur - Affaires européennes - Entretien de Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "LCI" (Paris, 05/07/2025)
La ligne de la France sur ce sujet depuis le début, elle a été très claire : si on a une situation asymétrique, les Européens ont des moyens de répondre, ont des moyens de mettre en œuvre des contre-mesures, il y a des contre-mesures qui ont été décidées au niveau européen pour pouvoir avoir une symétrie.
- Affaires européennes - Entretien de M. Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "CNews" et "Europe 1" - Extraits (Paris, 03/06/2025)
La France et l’Italie, c’est deux partenaires historiques. L’Italie, c’est un pays fondateur de l’Union européenne, avec qui on a énormément de choses en commun, d’intérêts en commun. Et donc, on respecte l’Italie, on respecte leurs dirigeants et Mme Meloni. Et on a besoin de travailler avec eux.
- Affaires européennes - Commerce extérieur - Entretien de Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "France 24" et "RFI" (Paris, 28/04/2025)
Déjà, on a, depuis trois ans, la guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine à nos portes, qui a un impact évidemment sur la liberté, la démocratie et la souveraineté des Ukrainiens, mais plus profondément sur notre sécurité à nous, Européens, puisque les Ukrainiens se battent aussi pour la sécurité de l’Europe.
- Affaires européennes - Commerce extérieur - Entretien de Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "France Info" (Paris, 06/04/2025)
Il ne faut pas confondre la précipitation et la fermeté. On aura une réponse unie, une réponse ferme, parce que la meilleure façon de se faire entendre, de désescalader et, pourquoi pas, d’avoir une négociation, c’est de montrer qu’on est capables d’assumer un rapport de force.
- Commerce extérieur - Entretien de M. Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "BFM TV" (Paris, 03/04/2025)
Il faut défendre nos intérêts de façon ferme, de façon unie au niveau européen. Déjà, il faut rappeler les faits. C’est une décision qui est totalement injustifiée de la part de Donald Trump, qui ne repose sur aucune base réelle, factuelle des relations économiques entre l’Europe et les Etats-Unis, puisqu’au fond, il calcule les déficits commerciaux des Etats-Unis et considère que c’est un tarif que lui met l’Europe.
L’Union Européenne va répondre de façon déterminée, de façon proportionnée.
- Politique étrangère - Affaires européennes - Entretien de M. Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "France 2" (Paris, 04/03/2025)
Je rappelle tout de même que l’aide combinée des Européens, qu’elle soit économique, humanitaire ou militaire, est supérieure à celle des Etats-Unis. C’est pour ça que les Européens ont leur mot à dire sur ce qui se passe en Ukraine, parce que c’est notre sécurité et, encore une fois, que nous soutenons les Ukrainiens.
- Ukraine - Entretien de Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec "BFM TV" (Paris, 24/02/2025)
C’est que, fondamentalement, vous savez, les Ukrainiens ici se rappellent de leur histoire. Ils se rappellent des années 1990, du mémorandum de Budapest, où ils avaient abandonné le programme nucléaire contre des garanties de sécurité qui ont été violées, bafouées par la Russie
Benjamin Haddad, vous partez, tout à l’heure, aux États-Unis, dans ce contexte particulier de la prise de fonction de Donald Trump, qui a confirmé aux autorités danoises qu’il voulait annexer le Groenland
Dans un entretien aux « Echos », Benjamin Haddad, le ministre délégué chargé de l’Europe, détaille les attentes de la France vis-à-vis de Bruxelles, pour rendre l’UE plus compétitive sur la scène mondiale
En visite à Rome, Benjamin Haddad, le ministre délégué chargé de l’Europe, chasse l’idée d’une Italie qui se désolidariserait. Il salue, au contraire, la convergence retrouvée entre Paris et Rome sur les grands dossiers européens. On verra si l’avenir lui donne raison.
Merci d’être avec nous. On va revenir évidemment sur la déclaration de politique générale de François Bayrou. Mais nous allons parler d’Europe, évidemment. Nous allons parler du monde, surtout Donald Trump et Elon Musk. Nous allons parler de l’Algérie, et de la guerre entre l’Ukraine et la Russie. Ça nous concerne évidemment.
- Entretien de M. Benjamin Haddad, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé de l’Europe, avec « CNews », « Europe 1 » et « Les Echos » (Paris, 12 janvier 2025)
Si on parle de l’épisode, en l’état, de l’influenceur que la France a voulu expulser, on est dans un cas très clair de quelqu’un qui a utilisé des réseaux sociaux comme TikTok pour insulter la France, pour attaquer la France, pour inciter à la haine et à la violence.
Il faut saluer cet accord de cessez-le-feu qui a été trouvé, qui va permettre de ramener le calme, de protéger les civils libanais, de préserver les Israéliens des attaques terroristes que l’on voit depuis le 8 octobre, le lendemain du 7 octobre.
Bienvenue à la grande interview sur CNews et Europe 1. Vous êtes le ministre délégué chargé de l’Europe - l’Europe qui fait face à une violente vague d’antisémitisme.
Benjamin Haddad (Renaissance) est le ministre délégué aux affaires européennes dans le gouvernement de Michel Barnier. Il tire les conséquences pour l’Europe du retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
Il ne faut pas être naïf. Nous voyons depuis des années que la Russie est tentée d’utiliser toutes les zones grises de notre continent comme autant de théâtres d’influence et d’ingérence.
Le rapport Draghi, l’ancien gouverneur de la Banque centrale européenne, qui a été publié il y a quelques semaines, a montré aussi le décrochage industriel des Européens, quand on regarde les innovations d’avenir, l’intelligence artificielle, le quantique, quand on voit l’industrie de défense.
On a travaillé avec Donald Trump pendant le premier mandat d’Emmanuel Macron, entre 2016 et 2020. Il faudra trouver les moyens de travailler sur nos intérêts en commun.
La Géorgie, c’est un pays candidat à l’Union européenne. Quand on est candidat à l’Union européenne, ça entraîne des exigences et des responsabilités. Le respect de l’État de droit, l’intégrité du processus électoral.
Depuis le 7 octobre, la position de la France a toujours été très claire : la condamnation absolue de l’attaque barbare du Hamas contre les civils israéliens, et le droit d’Israël à se défendre contre le terrorisme dans le respect du droit international humanitaire.
Divergences sur l’immigration, montée en puissance de Giorgia Meloni dans l’Union européenne, menace du traité Mercosur… malgré ces signaux, le ministre délégué chargé de l’Europe Benjamin Haddad, proche d’Emmanuel Macron, conteste que la voix de la France soit affaiblie en Europe.