Une étape importante dans le traitement des maladies génétiques
Canada
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Biologie : médecine, santé, pharmacie, biotechnologie
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Médecine individualisée
23 juin 2017
Les chercheurs de l’Université de Queen en Ontario ont démontré la faisabilité d’une thérapie traitant les maladies génétiques.
à Hong Kong, le comité consultatif sur le SIDA publie ses recommandations stratégiques pour 2017-2021
Hong Kong
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Politiques de recherche, technologiques et universitaires
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Biologie : médecine, santé, pharmacie, biotechnologie
23 juin 2017
Le Hong Kong Advisory Council on AIDS, ACA (comité consultatif sur le sida de Hong Kong) est un organisme non-statutaire permanent nommé par le gouvernement de la région administrative spéciale pour (…)
Des nanoparticules utilisées pour combattre les maladies neurodégénératives
Hong Kong
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Biologie : médecine, santé, pharmacie, biotechnologie
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Silver économie : l’innovation pour la longévité
23 juin 2017
Une start-up hongkongaise spécialisée dans les nanotechnologies appliquées dans le domaine biomédical, fait une avancée sur le prélèvement des cellules souches responsables des maladies neurodégénératives comme les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
Les vaisseaux sanguins sensibles à l’oxyde nitrique ?
Hong Kong
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Biologie : médecine, santé, pharmacie, biotechnologie
23 juin 2017
Le système cardio-vasculaire est un réseau interrelié de vaisseaux sanguins (veines et artères), relié au cœur et aux poumons qui apporte l’oxygène et les nutriments à tous les organes et tissus du (…)
Intelligence Artificielle & biologie cellulaire
Canada
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Biologie : médecine, santé, pharmacie, biotechnologie
22 juin 2017
Les chercheurs de l’Université de Toronto ont développé un algorithme deep learning permettant de tracer les protéines et d’aider ainsi à identifier ce qui rend les cellules saines ou pas.
Une étude menée chez la souris montre que le paludisme induit une fragilisation du squelette
Japon
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Biologie : médecine, santé, pharmacie, biotechnologie
22 juin 2017
Le parasite qui transmet le paludisme, plasmodium, est surtout connu pour engendrer le plus de dégâts lorsqu’il loge dans les globules rouges de l’organisme où il se nourrit d’hémoglobine, relâche des molécules toxiques, et finit par entraîner la mort d’un très grand nombre d’hématies. Ce parasite a aussi été identifié au niveau de la moelle osseuse sans que l’on connaisse son impact à ce niveau. Une équipe d’immunologistes de l’université d’Osaka a donc souhaité savoir si ce parasite avait une action négative sur le squelette.