Nouvelle-Zélande

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Date de publication :

Intempéries (06/03/2023)

Suite aux fortes intempéries qui ont sévi sur l’île du Nord et au passage du cyclone Gabrielle fin février, l’ensemble du réseau routier a été impacté. Un certain nombre de routes sont actuellement fermées ou fortement endommagées (notamment dans le Northland, Hawkes Bay, Gisborne et Coromandel). Il est recommandé aux automobilistes de faire preuve de vigilance accrue et de suivre les instructions et signalisations mises en place par les autorités locales.

Toutes les informations en temps réel sur l’état des routes en Nouvelle-Zélande sont disponibles sur le lien suivant : https://www.journeys.nzta.govt.nz/traffic/.

Vous pouvez également consultez les sites officiels suivants :

Des variations météorologiques rapides (chute des températures, tempêtes de vent, fortes pluies, inondations) peuvent se produire de façon imprévisible. Ces intempéries sont susceptibles d’affecter les infrastructures, les réseaux de communication et la navigation. Lors de ces épisodes, il convient de faire preuve de vigilance et de suivre les informations et consignes de la protection civile néo-zélandaise et des services météorologiques sur les sites (en anglais) du National Emergency Management Agency et de Metservice.

Infection pulmonaire - Coronavirus Covid-19 (23/10/2022)

S’agissant des conditions d’entrée, de séjour et de sortie du territoire national, il convient de consulter l’Alerte Covid ainsi que le site du ministère de l’Intérieur.

Mesures en vigueur en Nouvelle-Zélande

Le cadre de protection COVID-19 (feux tricolores) de la Nouvelle-Zélande a pris fin. Le nombre de cas étant faible, la plupart des règles COVID-19 ont été supprimées depuis le 13 septembre 2022.
Le port d’un masque reste recommandé, mais il n’est obligatoire que dans certains établissements de santé, comme les hôpitaux.

Conditions d’entrée en Nouvelle-Zélande

Depuis le 31 juillet 2022, les frontières néo zélandaises ont rouvert pour toutes les catégories de visas.

Depuis le 13 septembre 2022, les passagers ne sont plus tenus de présenter des cartes/certificats de vaccination ou de présenter un résultat négatif d’un test PCR avant le départ ni avant l’embarquement. Il convient de vérifier auprès de sa compagnie aérienne car elle peut toujours exiger une preuve de vaccination.

A l’arrivée en Nouvelle-Zélande :

  • Des tests rapides d’antigène (RAT) gratuits sont disponibles à l’aéroport.
  • Il est conseillé de faire le test le jour de votre arrivée et le cinquième ou sixième jour et de signaler un résultat positif en appelant :
    o 0800 432 010 - depuis un numéro de téléphone néo-zélandais ;
    o +64 9 954 6118 - depuis une carte SIM internationale. Des frais supplémentaires de communication peuvent être imposés par l’opérateur téléphonique.
  • Tout voyageur dont le résultat est positif doit s’isoler pendant 7 jours.

Depuis le 20 octobre 2022, il n’est plus nécessaire de remplir la New Zealand Traveller Declaration (NZTD) pour entrer en Nouvelle-Zélande.

Les visiteurs doivent continuer à présenter la preuve de l’obtention du NZeTA (autorisation de voyage électronique et taxe touristique pour la préservation de la nature valable pour deux ans). Plus d’information sur le site de Immigration New Zealand.

Les escales internationales à l’aéroport d’Auckland sont autorisées pour des périodes inférieures à 24 heures.

Ces mesures étant évolutives, les voyageurs sont invités à consulter régulièrement les sites internet (en anglais) de Immigration New Zealand et du ministère néo-zélandais de la Santé.

Plus d’informations et recommandations sur la fiche Coronavirus et sur la page Risques sanitaires / Coronavirus.

Sécurité

Risques encourus et recommandations associées

Sécurité

Si le niveau de criminalité de droit commun reste faible en Nouvelle-Zélande, les précautions d’usage doivent toutefois être observées, la délinquance prenant de l’ampleur dans les grandes villes (présence de gangs à Wellington, Christchurch, et surtout Auckland) ainsi qu’à proximité des sites touristiques et des plages.

Le risque de vols dans les véhicules (notamment les camping-cars et « camper vans ») existe sur l’ensemble du territoire. Il est donc fortement déconseillé de laisser ses effets personnels (argent, passeports, documents, etc.) dans un véhicule sans surveillance.

Il est rappelé aux voyageurs, et en particulier aux randonneurs et aux campeurs, qu’une vigilance accrue doit être accordée durant les étapes nocturnes où des vols ou attaques peuvent survenir.
Le camping sauvage doit être évité. Il est prudent de camper dans les centres agréés ou près d’un lieu habité, de bien verrouiller son véhicule et de garder son téléphone près de soi pour appeler des secours en cas de nécessité.

Risque sismique

La Nouvelle-Zélande est située sur deux lignes de faille, dans une zone de forte activité sismique enregistrant environ 20 000 secousses par an.
Pour plus d’informations sur la conduite à tenir en cas de séisme, consulter la fiche réflexe Séismes.

Les recommandations de base sont les suivantes :

  • À l’intérieur :
    • s’éloigner des fenêtres, des murs extérieurs, et de tout meuble, tableau ou luminaire susceptible de se renverser ou se décrocher ;
    • s’abriter sous une table solide ou tout meuble résistant, ou rester debout sous un encadrement de porte.
  • À l’extérieur :
    • s’efforcer d’atteindre un espace libre, loin des arbres, poteaux électriques, murs ou bâtiments ;
    • dans la voiture, s’arrêter au bord de la route et attendre à l’intérieur la fin des secousses.

Il est recommandé de stocker eau, piles, allumettes, lampes électriques, trousse médicale de première urgence, radio, bougies, vivres et quelques médicaments (la liste est disponible à la dernière page de chaque annuaire téléphonique du pays).

Dans tous les cas, conserver son calme, suivre les instructions données et attendre les secours, si nécessaire.
Il faut savoir que tout séisme important est susceptible d’être suivi d’une série de secousses secondaires.

Si un tremblement de terre devait avoir lieu lors d’un séjour touristique, il est recommandé aux ressortissants français de prendre immédiatement contact avec leurs familles ou leurs proches afin de les rassurer sur leur sort ou, le cas échéant, en cas de problème de communication avec l’extérieur, avec l’ambassade de France à Wellington.

Tsunamis

Conséquence de l’activité sismique importante dans la région, les côtes de la Nouvelle Zélande font régulièrement l’objet d’alertes aux tsunamis. Il est important de se renseigner sur le dispositif mis en place localement lorsque l’on séjourne dans des zones à risque, afin de pouvoir évacuer rapidement en cas de besoin, et se réfugier en hauteur.

Activité volcanique

L’attention des randonneurs est particulièrement attirée sur les précautions à prendre avant de se rendre sur deux sites volcaniques du pays situés dans l’île du Nord et dont l’activité peut reprendre à tout moment :

  • le mont Tongariro ainsi que tout le parc du même nom ;
  • l’île volcanique de White Island située dans la baie d’Abondance (Bay of Plenty).

Il est fortement conseillé aux visiteurs de se renseigner sur l’accessibilité de ces deux sites auprès des bureaux d’information avant de s’y rendre.

Climat

La Nouvelle-Zélande est sujette à des variations météorologiques rapides et imprévisibles (chute des températures, tempêtes de vent, forte pluie ou neige), quelles que soient la saison et la région, et en particulier en montagne. Les intempéries sont susceptibles d’affecter les infrastructures et les réseaux de communication, ainsi que la navigation. Il est recommandé de prêter une attention particulière à la météo, d’adapter ses déplacements et de s’équiper en conséquence pour y faire face, notamment en se munissant, en toutes circonstances, de vêtements chauds et imperméables.
La météo peut être consultée sur le site Metservice (en anglais).

Zones de vigilance

Activités sportives à risque

La Nouvelle-Zélande est connue pour sa pratique des sports d’aventure et sports extrêmes (saut à l’élastique, parachute, rafting, jetboating, ascension sur glacier, quad, spéléologie, ponts suspendus, etc.). L’attention des voyageurs est attirée sur la condition physique et la prudence requises dans l’exercice de telles activités, surtout en cas de pratique non encadrée. Il est recommandé de vérifier que son assurance couvre également ces pratiques sportives.

Entrée / Séjour

Formalités d’entrée

Visas

Les ressortissants français peuvent visiter la Nouvelle-Zélande sans visa pour une période inférieure à 90 jours. Tout visiteur doit disposer d’un billet de retour ou à destination d’un pays tiers et pouvoir prouver qu’il disposera sur place de moyens suffisants pour son séjour.

Pour les autres types de demandes, il convient de se renseigner sur le site de Immigration New Zealand.

Autorisation de voyage électronique (ETA)

Tous les visiteurs doivent présenter la preuve de l’obtention du NZeTA (autorisation de voyage électronique et taxe touristique pour la préservation de la nature valable pour deux ans). Consulter le site de Immigration New Zealand.

Pour toute information complémentaire, prendre l’attache de l’ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris.

Programme Vacances-Travail (PVT)

Les autorités néo-zélandaises autorisent les ressortissants français à séjourner en Nouvelle-Zélande à titre individuel dans le but d’y passer des vacances, en ayant la possibilité d’y exercer un emploi pour compléter les moyens financiers dont ils disposent. Elles leur délivrent à cet effet un visa vacances-travail à entrées multiples d’une durée de validité d’un an.

À l’arrivée en Nouvelle-Zélande, les bénéficiaires du programme se voient délivrer par le service de l’immigration une autorisation de travail valable 12 mois. Ils sont tenus de se conformer à la législation locale du travail.

La demande de visa s’effectue en ligne via le site des services de l’immigration néo-zélandaise (en anglais).

Pour toute information complémentaire, il convient de consulter le site de l’ambassade de France en Nouvelle-Zélande et de prendre l’attache de l’ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris.

Règlementation douanière

Certaines précautions et gestes simples permettent d’éviter des complications douanières.

La loi néo-zélandaise en matière de règles douanières et biosanitaires est intransigeante. L’introduction dans le pays de produits prohibés est étroitement contrôlée. Il est donc recommandé de se conformer strictement à la règlementation en vigueur. Tout manquement peut être sévèrement sanctionné, à commencer par un refus d’entrée sur le territoire.

Contrôle biosanitaire

Une attention scrupuleuse est accordée aux menaces extérieures pouvant affecter l’écosystème (bactéries, insectes ou autres petits animaux) par les services de contrôle aux frontières. L’approche « bio-sécurité » est d’une extrême rigueur lors des contrôles effectués à l’aéroport, une amende de 400 dollars néo-zélandais pouvant être infligée sur le champ en cas d’infraction (même pour un fruit), voire beaucoup plus si l’intention de frauder est établie.

Des déclarations frauduleuses ou incorrectes à la douane néo-zélandaise peuvent faire l’objet d’amendes immédiatement exigées (allant jusqu’à 400 dollars néo-zélandais).

De manière générale :

  • lorsque l’on prépare ses bagages, penser à bien respecter la liste des produits interdits et ceux qui doivent être déclarés (voir ci-après) ;
  • en transit, si l’on pense acheter un souvenir ou des denrées durant l’escale, s’assurer que ces produits sont bien autorisés sur le territoire néo-zélandais ;
  • à la descente de l’avion, penser à ne rien emmener de ce qui était à bord (boissons, fruits, pâtisseries) ;
  • aux douanes, faire de son mieux pour faciliter le travail des douaniers.

Sont notamment strictement interdits les produits suivants :

  • viandes aviaires (poulet, dinde, canard) et dérivés (foie gras frais), œufs ;
  • viande de porc et charcuterie (saucisson, pâté, saucisse etc.) ;
  • fruits frais, légumes et champignons ;
  • miel et produits dérivés, pollens, cire et résine végétale ;
  • animaux vivants (dont chiens et chats), animaux de compagnie, oiseaux, œufs d’oiseaux, poissons et insectes ;
  • fleurs et feuillages, colliers de fleurs et assimilés ;
  • emballage en paille ou autres herbes ;
  • corail, ivoire (incluant les instruments de musique), peau de serpent, produits à base de cuir de crocodile ou d’os de baleine (dont colliers, bijoux, artefacts ou ornements) ;
  • coquillages et carapaces de tortues.

Ces produits seront systématiquement détruits ou, si le voyageur accepte de payer le service, réexpédiés chez lui.

Produits devant être obligatoirement déclarés à l’arrivée :

  • viandes (autres qu’aviaires), poissons et crustacés ;
  • produits à base d’œufs (pâtes, pâtisseries) ;
  • fruits et légumes secs ;
  • pâtes et riz ;
  • noix, graines, céréales, herbes et épices ;
  • tous produits végétaux ou à base de plantes ;
  • produits à base de fleurs séchées ;
  • produits rembourrés avec des graines/céréales, de la paille ;
  • produits à base de bambou, canne à sucre, noix de coco, paille ;
  • tous produits contenant du bois ou à base de bois (incluant les instruments de musique) ;
  • tous produits contenant ou à base de plumes, pelage, poils, peaux et os ;
  • tous trophées de chasse ou animaux empaillés ;
  • vêtements et chaussures ayant été en contact avec des animaux (dont animaux dits « de la ferme »), du matériel pour animaux, du matériel vétérinaire ou des cages à animaux ;
  • tous matériels et vêtements de camping, de trekking et de marche ayant déjà été utilisés à la campagne ou à la montagne.

Après inspection, ces produits seront retournés au voyageur, pour la grande majorité. Les autres seront traités à ses dépens puis seront rendus et, dans des cas plus rares, seront détruits ou, si le voyageur accepte de payer le service, réexpédiés chez lui.

Ces listes de produits ne sont pas exhaustives. Pour de plus amples informations sur les conditions d’accès au territoire et sur les douanes néo-zélandaises, se reporter au site du ministère néo-zélandais des Industries primaires.

Contrôle des appareils électroniques

Les agents chargés du contrôle aux frontières peuvent inspecter les appareils électroniques (ordinateurs, tablettes ou smartphones) des passagers à l’arrivée sur le territoire néo-zélandais et demander aux intéressés de fournir les codes d’accès, mots de passe ou clefs de chiffrement permettant l’inspection de ces appareils s’ils ont des « motifs raisonnables de soupçonner une infraction ».

Toute personne qui refuserait de fournir les codes permettant l’accès aux données des appareils qu’il détient s’expose à une amende de 5 000 dollars néo-zélandais et à se voir interdire l’entrée sur le territoire.

Les voyageurs sont invités à prendre toute précaution pour protéger leurs données confidentielles.

Santé

Un séjour à l’étranger implique pour tout voyageur de prendre certaines précautions en matière de santé. La rubrique ci-dessous mentionne les indications essentielles. Elles ne dispensent toutefois pas le voyageur d’une consultation chez son médecin traitant et/ou dans un centre hospitalier, suffisamment longtemps avant la date de départ pour permettre le rappel des vaccins.

Avant le départ

Frais d’hospitalisation et dépenses de santé

Afin de faire face aux frais d’hospitalisation et aux dépenses de santé parfois très élevés à l’étranger, il est vivement recommandé de disposer d’un contrat d’assistance ou d’une assurance permettant de couvrir tous les frais médicaux (dont chirurgie et hospitalisation) et de rapatriement sanitaire, au risque de ne pas avoir accès aux soins, y compris en cas d’urgence vitale. Ces frais ne pourront en aucun cas être pris en charge par l’ambassade de France sur place.

La liste des hôpitaux dans les principales villes du pays est disponible sur le site du ministère néo-zélandais de la Santé (en anglais). En cas d’urgence, appeler le 111.

Recommandations pour sa santé

Consulter si besoin son médecin traitant ou un centre de vaccinations internationales pour faire une évaluation de son état de santé et bénéficier de recommandations sanitaires, notamment sur les vaccinations.

Consulter éventuellement son dentiste avant son départ.

Constituer sa pharmacie personnelle en conséquence et n’emporter que les médicaments nécessaires ; ne jamais consommer des médicaments achetés dans la rue (risque de contrefaçons). Pour plus d’informations, consulter la fiche Informations pratiques.

Vaccinations

La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) est recommandée, ainsi que la vaccination rubéole-oreillons-rougeole (ROR) chez l’enfant.

Risques sanitaires

Cas de rougeole

Une recrudescence de cas de rougeole affecte périodiquement la Nouvelle-Zélande, principalement dans la région d’Auckland.
Plus d’informations sur la rougeole et les moyens de se protéger

Infection par le virus VIH – IST

Concernant les infections sexuellement transmissibles (IST), il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque.

Drogue

Des cas d’hospitalisation ou d’overdose liés à la consommation de cannabis synthétique sont signalés par les autorités sanitaires locales.
Pour rappel, la consommation de stupéfiants est totalement interdite en Nouvelle-Zélande.

Quelques règles simples

  • Se tenir à distance des cadavres d’animaux, des animaux et de leurs déjections ;
  • Ne pas approcher les animaux errants et les chiens (risque de morsure et de rage) ; ne pas caresser les animaux rencontrés ;
  • Veiller à sa sécurité routière (port de la ceinture de sécurité, port du casque en deux-roues).

Pour se préserver des contaminations digestives ou de contact :

  • Se laver les mains régulièrement avec des solutions de lavage hydro-alcooliques, surtout avant et après les repas ou le passage aux toilettes ;
  • Veiller à la qualité des aliments, et surtout à leur bonne cuisson.

Infos utiles

Transport

Conduite en Nouvelle-Zélande

Le permis de conduire français est reconnu pendant un an, à condition qu’il soit accompagné du permis international ou d’une traduction effectuée par un traducteur agrée par la New Zealand Transport Agency.

Au-delà d’un an, il est impératif de se soumettre aux épreuves du code néo-zélandais.

Il convient d’être en mesure de présenter son permis national accompagné du permis international (à solliciter par courrier sur Service-public.fr) ou, à défaut, d’une traduction officielle en anglais. La location d’un véhicule n’est ouverte qu’aux conducteurs âgés de plus de 21 ans. Il est essentiel d’anticiper les réservations en haute saison (décembre-janvier).

L’assurance automobile n’étant pas obligatoire, il est fortement conseillé de s’assurer « tous risques ». En cas de location, vérifier que le contrat autorise l’emprunt des voies non goudronnées. Si ce n’est pas le cas, éviter scrupuleusement toutes les routes empierrées et chemins de terre sur lesquels le voyageur ne serait pas assuré. Pour les conseils pratiques, se référer à la rubrique Les règles de la sécurité routière en Nouvelle-Zélande du site de l’ambassade de France en Nouvelle-Zélande.

Sur la route

La conduite est à gauche et, sauf indication contraire, la priorité à droite. Cela nécessite une vigilance accrue pour les conducteurs français. Il convient d’être prudent lorsque l’on débute la conduite ou pendant les moments de fatigue ou d’inattention particulièrement favorables à un relâchement de vigilance et à un retour de réflexes liés à la conduite à droite.

Les routes de type nationales sont en très bon état mais souvent sinueuses. En zone rurale, l’état des routes peut varier du bitume au gravier et aux pistes.
Le port de la ceinture de sécurité est obligatoire en tout temps et pour tous les occupants d’un véhicule. Le taux d’alcoolémie toléré au volant est de 80 mg/100 ml. La limitation de vitesse est de 100 km/h sur route, 60 ou 70 km/h à l’approche des agglomérations, et 50 km/h en ville.

Il est recommandé d’éviter de conduire la nuit.

L’alcoolémie au volant et les excès de vitesse sont lourdement sanctionnés (fortes amendes, retrait de permis, etc.). Les contrôles sont fréquents.

Responsabilité pénale

Des poursuites judiciaires peuvent être engagées à l’encontre d’un conducteur dont la responsabilité est mise en cause en cas d’accident, notamment s’il y a eu des blessés graves ou des décès. Les peines prononcées pour mise en danger de la vie d’autrui peuvent aller d’une forte amende à la prison ferme.

Réseaux et communications

Le taux de couverture mobile en Nouvelle Zélande est bon. Il reste encore des zones blanches notamment dans les parcs nationaux et les zones reculées. Trois opérateurs principaux se partagent le marché : Vodaphone, Spark (opérateur historique) et 2 Degrees. Plus de la moitié de la population a aujourd’hui accès au réseau 4G. La fibre se développe et devient de plus en plus disponible dans les hôtels des grandes villes. La Wifi est disponible dans tous les grands hôtels et aéroports, et plusieurs centres villes disposent de zones de wifi gratuite.

Législation locale

Drogues

À l’arrivée en Nouvelle-Zélande, toute personne suspectée de consommer des stupéfiants, même occasionnellement, peut se voir refuser l’accès sur le territoire. L’usage de stupéfiants (y compris de cannabis) est interdit et tout contrevenant est passible d’amendes conséquentes et d’expulsion, généralement précédée d’une période de détention.

Infractions

Les petits larcins ou les infractions à la réglementation du séjour des étrangers peuvent également être sanctionnées par des amendes importantes et par une expulsion du pays.

Alcoolémie

La législation contre l’alcoolémie au volant est plus sévère qu’en France et elle est appliquée avec rigueur.

Voyages d’affaires

Visas d’affaires

Les ressortissants français n’ont pas besoin de visa pour entrer en Nouvelle-Zélande pour un séjour de moins de 90 jours consécutifs. Il suffit pour le voyageur d’affaires de disposer à son entrée dans le pays d’un billet retour.

Pour un séjour supérieur à quatre-vingt-dix jours consécutifs ou des séjours totalisant plus de 180 jours par an, quel que soit le motif, la sollicitation d’un visa de travail auprès de l’Immigration New Zealand.

Données économiques

Consulter la fiche repères économiques Nouvelle-Zélande.

Contacts utiles

Service économique

Les Services économiques auprès des ambassades sont des services extérieurs de la Direction générale du Trésor. Ils ont pour missions l’analyse et la veille économique et financière, sur une base macroéconomique, l’animation des relations économiques, financières et commerciales bilatérales avec les pays de leur compétence, et le soutien public au développement international des entreprises. La Nouvelle Zélande dépend du Service économique de Canberra.

Service économique de Canberra

Ambassade de France en Australie
6 Perth Avenue, Yarralumla (Canberra) ACT 2600
Tél. : +61 2 6216 0116
Télécopie : +61 2 6216 0114
Courriel : canberra chez dgtresor.gouv.fr
Site Internet

Business France

Opérateur public national au service de l’internationalisation de l’économie française, Business France valorise et promeut l’attractivité de l’offre de la France, de ses entreprises et de ses territoires.

La Nouvelle-Zélande relève du bureau de Sydney :

Bureau Business France Australie
31 Market Street - St Martins Tower 35th floor
Sydney NSW 2000 - Australia
Tel : +61 2 9264 2711
Courriel : sydney chez businessfrance.fr

CCI

Les Chambres de commerce et d’industrie (CCI) françaises à l’international sont des associations indépendantes de droit local qui regroupent des entreprises françaises et étrangères. Elles constituent un réseau mondial de relations et de contacts d’affaires de plus de 32 000 entreprises françaises et étrangères dans 83 pays.

Chambre de commerce et d’industrie France Nouvelle-Zélande (FNZCCI)
Auckland Chamber of Commerce
Level 3, 100 Mayoral Drive
PO Box 47 Auckland 1010
Tél : +64 9 302 99 32
Courriel : info chez fnzcci.org.nz ou fnzcci chez gmail.com
Site Internet

FMI

La Nouvelle-Zélande et le FMI