Guinée-Bissao

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Urgence Attentat – Vigilance renforcée pour les ressortissants français à l’étranger

Publié le 28/03/2024

Compte tenu du relèvement, sur l’ensemble du territoire national, de la posture du plan Vigipirate au niveau Urgence attentat, une vigilance renforcée est recommandée à l’ensemble de nos ressortissants résidant ou de passage à l’étranger.

Sécurité

L’ambassade de France en Guinée-Bissao dispose de capacités limitées pour venir en aide aux Français en cas de crise.

Les Français qui se rendent dans le pays sont responsables de leur sécurité. Ils sont invités à s’assurer qu’ils disposent de moyens nécessaires en cas de crise (vérifier les termes des contrats d’assurance, disposer des moyens financiers nécessaires pour couvrir d’éventuels frais d’hospitalisation ou d’évacuation, etc.).
L’ambassade ne délivre pas de titres d’identité et de voyage. En cas de perte ou de vol de passeport, l’ambassade pourra néanmoins émettre un laissez-passer (voir la rubrique Démarches administratives sur le site de l’ambassade de France à Bissao). Ce titre permet uniquement de se rendre en France, où il sera possible de faire renouveler son titre perdu ou volé. Le Consulat général de France à Dakar est compétent pour toutes les autres démarches administratives concernant les Français résidents ou de passage en Guinée-Bissao.
Pendant les heures de bureau, l’ambassade de France en Guinée-Bissao peut être jointe au +245 955 3932 80.
En cas d’urgence en dehors de ces horaires, le consulat général de France à Dakar peut être joint au + 221 33 839 52 62.
En cas d’incident grave dans le pays pendant le séjour, penser à rassurer ses proches.

Risques encourus et recommandations associées

Risque politique

De 2015 à 2020, la Guinée-Bissao a traversé une crise politico-institutionnelle qui a pu avoir un impact sur la sécurité des ressortissants français dans le pays. La situation politique s’est normalisée au cours des derniers mois.

Des manifestations, parfois émaillées de violences, peuvent avoir lieu dans les grandes villes du pays. Il est ainsi recommandé de se tenir à l’écart de tout rassemblement.

Risque routier

La circulation de nuit est dangereuse et donc déconseillée (véhicules mal éclairés, animaux sur la route…) : les accidents sont nombreux.

Le phénomène des coupeurs de route peut subsister de nuit sur les axes secondaires.

Délinquance et criminalité

Dans la capitale et dans sa banlieue, les conditions de sécurité demandent une certaine vigilance (avec notamment une augmentation du nombre de vols à l’arraché en période de fêtes).
En cas d’agression, il est recommandé de n’opposer aucune résistance.

Zones de vigilance

Zone déconseillée sauf raison impérative

Zone frontalière avec le Sénégal. Elle peut être le lieu de trafics, notamment de bois précieux, entre les deux pays et donner lieu à de fortes tensions et des incidents sécuritaires. Certaines parties, mal délimitées, sont encore minées le long de la frontière avec la Casamance. Il est déconseillé de s’écarter des routes principales et notamment de quitter les axes bitumés.

En cas de déplacement indispensable amenant malgré tout à emprunter un itinéraire qui longe la frontière, il est fortement recommandé de respecter certains conseils de prudence : aucun déplacement de nuit, une discrétion totale sur le trajet avant le départ, sauf pour signaler ce déplacement au consulat général de France à Dakar (bulletin.dakar-fslt chez diplomatie.gouv.fr), compétent aussi pour la Guinée-Bissao, voyage en convoi (de plusieurs véhicules).

Sur la route Bissao-Ziguinchor, il convient notamment de rester sur la route principale bitumée depuis Ingoré jusqu’au poste frontière de Mpack.

Zone de vigilance renforcée

Sur l’ensemble du territoire, à l’exception de la zone frontalière avec le Sénégal, les voyageurs peuvent circuler en respectant des mesures de prudence élémentaires, compte tenu notamment de l’état dégradé des routes, et en évitant de voyager de nuit. A pied, il faut éviter d’avoir sur soi des sommes d’argent importantes ou des bijoux. En voiture, il est conseillé de circuler vitres fermées et portières verrouillées.

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Dernière actualisation le 7/06/2018, toujours en vigueur le 3/12/2024

Recommandations générales

D’une manière générale, il est recommandé de :

  • ne pas laisser ses effets personnels ou bagages sans surveillance ou visibles dans un véhicule ;
  • ne pas porter d’objets de valeur, en particulier dans les lieux publics ;
  • ne pas mettre d’objets de valeur dans les sacs à dos ;
  • ne pas porter de sac à main ;
  • ne pas se déplacer avec tous ses papiers d’identité sur soi : utiliser des photocopies et déposer les documents d’identité dans un coffre sécurisé ;
  • circuler avec les portières verrouillées et les vitres fermées ;
  • ne rien laisser sur les sièges à l’intérieur des véhicules ;
  • éviter les déplacements à pied la nuit.

Entrée / Séjour

Formalités d’entrée

Visa

Un visa d’entrée est obligatoire.

En France, la demande peut être faite auprès de l’ambassade de Guinée-Bissao à Paris.
Il est possible d’obtenir un visa à l’aéroport de Bissao, dans le cas où le correspondant a prévenu à l’avance le Département de l’immigration, en cas d’urgence ou si le pays de provenance ne dispose pas d’ambassade ou de consulat de Guinée-Bissao.

Covid

Il n’y a aucune disposition en vigueur actuellement pour l’entrée et la sortie du territoire bissau-guinéen concernant l’épidémie de COVID-19.

Réglementation douanière

  • Franchises douanières : à l’arrivée à l’aéroport, les personnes sont tenues de déclarer en détail les marchandises qu’elles transportent et de payer les droits et taxes sur ces marchandises. Il faut également satisfaire aux formalités liées au contrôle des changes.
  • Formalités à accomplir pour pouvoir partir avec son animal de compagnie : l’animal devra être identifié, être protégé contre la rage et disposer d’un certificat international de bonne santé établi une semaine avant le départ.
  • Réglementation relative à l’importation de médicaments (autres que pour les besoins personnels) : une autorisation doit être délivrée par le ministère de la Santé.

Santé

Un séjour à l’étranger implique pour tout voyageur de prendre certaines précautions de santé. La rubrique ci-dessous mentionne les indications essentielles. Toutefois, ces indications ne dispensent pas le voyageur d’une consultation avant le départ chez son médecin traitant et/ou dans un centre hospitalier spécialisé dans la médecine des voyages (et ceci suffisamment longtemps avant le départ, pour permettre le cas échéant les rappels de vaccins).

Avant le départ

Frais d’hospitalisation et dépenses de santé

Afin de faire face aux frais d’hospitalisation et aux dépenses de santé parfois très élevées à l’étranger, il est impératif de disposer d’un contrat d’assistance ou d’une assurance permettant de couvrir tous les frais médicaux (chirurgie, hospitalisation …) et de rapatriement sanitaire, au risque de ne pas avoir accès aux soins, y compris en cas d’urgence vitale. Ces frais ne pourront en aucun cas être pris en charge par l’ambassade ou les consulats généraux de France sur place.
Il n’y a pas en Guinée-Bissao de service d’urgences adapté à un accident grave ou à une forte détérioration de l’état de santé. Une évacuation sanitaire (dont le coût sera supporté par le patient et sa famille) devra toujours être préférée à une hospitalisation locale. Il n’y a pas d’avion sanitaire à Bissao : le plus proche est à Dakar, soit à environ une heure trente minutes de vol de Bissao.

Recommandations pour la santé

Consulter si besoin son médecin traitant ou un centre de vaccinations internationales pour faire une évaluation de son état de santé, et bénéficier de recommandations sanitaires notamment sur les vaccinations. Consulter éventuellement son dentiste avant le départ.

Constituer sa pharmacie personnelle en conséquence et n’emporter que les médicaments nécessaires ; ne jamais consommer des médicaments achetés dans la rue (risque de contrefaçons). Pour plus d’informations, consulter la fiche Infos pratiques.

Vaccinations

  • La fièvre jaune est endémique et la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire (à pratiquer avant le départ dans un centre agréé).
  • S’assurer d’être à jour dans ses vaccinations habituelles mais aussi liées à toutes les zones géographiques visitées.
  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) est recommandée en incluant rubéole oreillons et rougeole chez l’enfant ; la vaccination antituberculeuse est également souhaitable.
  • En fonction des conditions locales de voyage, les vaccinations contre la fièvre typhoïde et les hépatites virales A et B peuvent être recommandées.
  • Il est fortement recommandé d’être vacciné contre la méningite bactérienne A + C + Y + W135.
  • La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas en fonction des conditions et lieux de séjour. Demander conseil à son médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

Risques sanitaires

Maladies transmises par les moustiques

Paludisme

Le paludisme (ou malaria) est une maladie parasitaire (potentiellement grave) transmise par les piqûres de moustiques. Il existe deux formes de prévention complémentaires du paludisme : la protection contre les moustiques et le traitement médicamenteux. Les mesures classiques de protection contre les moustiques durant la soirée et la nuit sont fortement recommandées (cf. ci-après).
Pour ce qui est du traitement médicamenteux, il convient de s’adresser avant le départ à son médecin traitant ou à un centre hospitalier spécialisé dans la médecine des voyages. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France, pour une durée variable selon le produit utilisé.
Pendant son séjour, et dans les deux mois qui suivent le retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement antipaludique éventuel.

Chikungunya - dengue

La transmission du chikungunya ou de la dengue est possible. Il n’existe actuellement pas de traitement préventif pour ces maladies. La prévention individuelle repose donc essentiellement sur les moyens de protection contre les piqûres de moustiques (cf. ci-après). En cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement.

Zika

Il s’agit d’une maladie virale transmise par les piqûres de moustiques de type Aedes. Des cas de transmission du virus par voie sexuelle ont également été rapportés. Les symptômes de la maladie sont généralement modérés (fièvre, maux de tête, douleurs articulaires, éruptions cutanées). Toutefois, la survenue de complications graves telles que des cas de microcéphalies chez des nouveau-nés de femmes enceintes infectées par le virus et des complications neurologiques tels que des syndromes de Guillain Barré est attestée.

Il est conseillé aux femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse de reporter leur voyage, et à défaut de consulter un médecin avant le départ afin de recevoir une information sur les risques d’une infection à Zika. Il est primordial de respecter les mesures de prévention des piqûres de moustique, d’éviter tout rapport sexuel non protégé pendant le voyage avec une personne ayant pu être infectée par le virus Zika. Au retour de voyage, il est fortement conseillé de consulter un médecin spécialiste indépendamment de la présence de signes évocateurs.

Il est recommandé à tous les voyageurs de respecter les mesures de prévention des piqures de moustiques, de consulter un médecin en cas de fièvre survenant pendant le voyage ou dans les semaines qui suivent le retour en France et de consulter avant le départ les informations suivantes :

Mesures générales de prévention pour se protéger des moustiques :
  • Porter des vêtements couvrants, amples, légers, de couleur claire ;
  • Utiliser des produits répulsifs cutanés : voir à ce sujet les recommandations du ministère des Solidarités et de la Santé (PDF - 78.3 ko) et de l’Institut Pasteur (PDF - 1.21 Mo) ;
  • Protéger son logement (moustiquaires, diffuseurs électriques, serpentins, climatisation, etc.) ;
  • Détruire les sites potentiels de reproduction des moustiques (récipients d’eau stagnante comme les soucoupes sous les pots de fleurs, les gouttières, les pneus, etc.).

Autres maladies

Méningite

La plus grande prudence est conseillée en cas de déplacement dans cette zone, et il convient d’éviter de s’y rendre avec de très jeunes enfants. Il est donc vivement recommandé de consulter un médecin préalablement à un voyage, pour faire une évaluation sur la nécessité de vaccination contre le méningocoque (A,C,Y,W). Plus d’informations sur le site du ministère des Solidarités et de la Santé.

Fièvre typhoïde

La fièvre typhoïde est une maladie bactérienne liée aux salmonelles. Les symptômes associent notamment une forte fièvre et des troubles digestifs et imposent une consultation médicale urgente car des complications graves sont possibles. La prévention repose sur la vaccination, qui est recommandée, et sur les précautions liées à l’hygiène alimentaire.

Choléra

Le choléra est endémique en Guinée-Bissao. Le choléra est une infection digestive bactérienne qui se transmet par ingestion d’aliments mal cuits (fruits de mer, par exemple) ou souillés (fruits et légumes) et ingestion d’eau contaminée. Les personnes présentant les signes de l’affection (diarrhée liquide, vomissements, fièvre et faiblesse générale) doivent consulter un médecin en urgence. Il est recommandé de prendre les précautions d’usage (cf. hygiène alimentaire).

Rage

La rage est une maladie virale transmissible accidentellement à l’humain par un mammifère atteint du virus par morsure ou léchage d’une muqueuse. La mortalité est très élevée en l’absence de prise en charge médicale rapide, et il n’existe aucun traitement curatif de la rage déclarée. La vaccination préventive (en préexposition) avant un séjour en zone exposée peut être recommandée et nécessite une consultation médicale préalable. Plus d’informations sur le site du ministère des Solidarités et de la Santé.

Infection par le virus HIV – IST

Concernant les infections sexuellement transmissibles, il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque.

Quelques règles simples

  • Éviter les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire) ;
  • Éviter de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides ;
  • Se tenir à distance des cadavres d’animaux, des animaux et de leurs déjections ;
  • Ne pas approcher les animaux errants et les chiens (risque de morsure et de rage) ; ne pas caresser les animaux rencontrés ;
  • Veiller à sa sécurité routière (port de la ceinture de sécurité, port du casque à deux-roues) ;
  • Ne jamais consommer de médicaments achetés dans la rue.

Se préserver des contaminations digestives ou de contact :

  • Se laver les mains régulièrement avec des solutions de lavage hydro-alcooliques, surtout avant et après les repas et le passage aux toilettes ;
  • Veiller à la qualité des aliments et surtout à leur bonne cuisson ;
  • Éviter la consommation de produits alimentaires (poisson, viande, volaille, lait) crus ou peu cuits ; peler les fruits ou légumes ou bien les laver (à l’eau saine) ;
  • Éviter les crudités, coquillages, plats réchauffés et buffets froids ;
  • Ne boire que de l’eau ou des boissons encapsulées ou de l’eau rendue potable (filtration, ébullition ou à défaut produit désinfectant) ;
  • Éviter les glaçons et glaces, ainsi que la consommation de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés. Ne consommer le lait que pasteurisé ou bouilli ;
  • Respecter les règles d’hygiène de base et nettoyer avec attention les cuisines, salles de bain et WC.

Infos utiles

Transport

Transport routier

  • La souscription d’une assurance est obligatoire.
  • Permis de conduire : il est possible de conduire avec un permis étranger pour une période n’excédant pas 3 mois ; au-delà, il est nécessaire de se faire délivrer un permis de conduire bissaoguinéen.
  • Les pluies étant parfois torrentielles pendant "l’hivernage" (de juillet à septembre), la circulation en véhicules peut être fortement perturbée à Bissao et dans le reste du pays. Il n’est pas rare que certaines pistes soient totalement impraticables durant cette période.
  • L’état du réseau routier est très médiocre. Le mode de déplacement courant est le taxi individuel ou collectif. Il faut être prudent dans le choix du véhicule et du chauffeur et éviter de circuler la nuit.

Transports aériens

  • Il n’y a pas de liaison directe au départ de la France. Trois liaisons hebdomadaires directes sont assurées depuis Lisbonne.
  • Trois vols hebdomadaires sont habituellement assurés entre Casablanca et Bissao avec, à partir de la capitale économique marocaine, de multiples correspondances.
  • Les liaisons aériennes avec Dakar et quelques autres destinations africaines sont fréquentes mais parfois aléatoires.
Archipel des Bijagos

Il n’y a pas de liaison aérienne entre le continent et les îles de l’archipel des Bijagos. Il peut arriver que des avions privés se posent sur l’île de Bubaque. Il est possible d’utiliser la voie maritime au départ de Bissao, mais il est fortement déconseillé de partir en mer à bord de pirogues. Certains hôtels et campements reçoivent des touristes dans de très bonnes conditions et peuvent mettre à leur disposition des bateaux aux normes, équipés pour la navigation en haute mer avec des équipages compétents.

Divers

Il est conseillé de se munir de francs CFA avant l’arrivée en Guinée-Bissao.
La possibilité d’effectuer des retraits bancaires reste très limitée et aléatoire.
Il n’est possible d’effectuer de paiements par carte de crédit que dans certains grands hôtels à Bissao.

Voyages d’affaires

Visas d’affaires

Il n’existe pas de distinction entre le visa touriste et le visa d’affaires. Les voyageurs d’affaires peuvent solliciter un visa de 1, 3, 6 ou 12 mois, à entrées multiples.

Réseaux de communication

La Guinée-Bissao ne dispose pas de réseau de téléphonie fixe. La connexion à Internet est possible via la 4G à Bissao. Les tarifs sont élevés et la connexion est instable. La plupart des grands hôtels du centre-ville de Bissao proposent un accès Wi-Fi. Il est possible d’acheter sur place puces et cartes téléphoniques (deux opérateurs : Orange et MTN).

Données économiques

Consulter la fiche repères économiques Guinée-Bissao.

Contacts utiles

Service économique

Les services économiques auprès des ambassades sont des services extérieurs de la direction générale du Trésor. Ils ont pour missions l’analyse et la veille économique et financière, sur une base macroéconomique, l’animation des relations économiques, financières et commerciales bilatérales avec les pays de leur compétence, le soutien public au développement international des entreprises.
La Guinée-Bissao relève du service économique régional d’Abidjan :
Adresse : 17 BP 151 Abidjan 17
Tél. : +225 27 20 20 75 52
Télécopie : +225 27 20 20 75 69
Courriel
Site Internet

AFD

L’Agence française de développement (AFD) est l’agence qui met en œuvre la politique du développement définie par le gouvernement français.
La Guinée-Bissao relève de l’agence de Dakar :
15, avenue Nelson Mandela BP 475 - Dakar
Tél. : +221 33 849 19 99
E-mail : afddakar chez afd.fr
Courriel
Site Internet

UEMOA

La Guinée-Bissao est membre de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Cette organisation propose un guide des affaires en Guinée-Bissao.

CEDEAO

La Guinée-Bissao est membre de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
La page de la Guinée-Bissao

BAD

La Guinée-Bissao est membre de la Banque africaine de développement (BAD).
La page de la Guinée-Bissao.

FMI

La Guinée-Bissao et le FMI

Banque mondiale

La Guinée-Bissao et la Banque mondiale